vernissage le 2 septembre 18h 30 37 rue Sylvabelle, 13006 Marseille heures d‘ouverture de lundi à vendredi de 10h à 12h et de 15h à 19h, le samedi de 10h à 12h et de 15h à 18h
Wolfgang Oelze et Goesta Diercks cet obscur coin flou (fuzzy dark spot)
«Fuzzy» (fibreux, flou, vague) ne touche pas par hasard aux références à l’obscurité et par conséquent à l’inconscient. Des traces caractéristiques se compriment dans des lieux ou taches mystérieux. Le «spot» est situé conceptuellement entre la tache diffuse et aussi bien le locus. Il qualifie la clarification et aussi la contamination de l’espace d’image. Dans les zones troublées des forums on-line les utilisateurs de technique se rencontrent – troublés, et ils posent des questions concernant les sombres taches sur leurs images de caméra numérique, des questions qui menent au néant. Dans l’idée des «bonnes choses» et de «l’homme en mesure ultérieure de toutes choses» l’inconcevable et le terrible est fondée en même temps. Ici même il est indiqué par les taches inexplicables mentionnées plus haut.
Est-ce que ce sombre sentiment a un lieu, et comment peut-on le voir? Celui-ci n’est positionné que localement et dans le paysage – des sentiments sont aussi devenus des lieux imagés par la psychologie, la neuroscience et la génétique. Puisque l’exploration scientifique toutefois paraît maîtrisable, il soulève d’autant plus la question concernant l’imprécis, le défaut, l’angle mort. La complexité et monstruosité de ces surfaces invitent à la perpétration artistique. L’indistinct et le vague même deviennent une sphère fascinante de l’imagination sombre qui doit être explorée. La croyance populaire, les hyperboles cinématographiques, les hypothèses absurdes, les fragments énigmatiques combinés, les objets se dissolvant eux-mêmes et les paysages ruineuses sont les objets d’exploration dans cette exposition.
Dans les œuvres de Wolfgang Oelze, l’ambigu dans la vue sur un lieu incroyable est mis en scène. En dehors des photographies, il travaille avec des vidéos qui sont montés à base du matériel cinématographique trouvé, et montrant les espaces déserts ou les paysages dans lesquels des événements profonds peuvent être devinés. Ses autres œuvres en vidéo se composent des enregistrements façonnés numériques pris lors des voyages sur un terrain d’abri bétonné chargé de l’histoire de la guerre – une région de vacances aujourd’hui. Sur les photographies («Wyoming», de 2011) des paysages abandonnés et désertés ressemblant aux scènes cinématographiques renvoient aux lieux de rendez-vous des sectes, à l’histoire envahie et aux phénomènes de fin du monde. Ces «Fuzzy Dark Spots», des surfaces d’un événement obscurci et vague, semblent avoir été abandonnés récemment et de se trouver en état irrésolu. Le complément des événements précédents et probables se déroule dans l’imagination du spectateur.
Goesta Diercks s’intéresse aux aspects qui touches l’architecture et l’espace de ville concernant un domaine aux frontières cachées. Pour la plupart des cas il met les images du quotidien trouvées par hasard ou les parties cinématographiques en relation à l’histoire d’art et aux questions sociales. Des traces d’une volonté d’organisation de l’homme sont transplantées aux lieux absurdes, ou à l’envers des traces absurdes aux lieux habituels. En plus il se sert des parties cinématographiques («Perfect», de 2006), des projets d'avenir ou de la publicité historique. Les paperboards d’une agence de développement urbaine montrent la tentative échouée d’atteindre la cogestion sociale afin d’accumuler les notions dans des meetings de brainstorming – et ne représentent que l’artefact de l’échec. Dans l’ élaborations de Diercks ces images ressemblent à des nuages qui répandent leur poison doucereux.
L’exposition à Marseille est la continuation d’un projet d’exposition initié par Wolfgang Oelze en 2011. Le catalogue en anglais et allemand: (site web de Revolver Books Berlin) Dès l’exposition première à Berlin ce projet est réalisé dans des autres lieux avec la participation variable et une conception spécifique à chaque fois.
Dans la Galerie du Tableau, Wolfgang Oelze et Goesta Diercks projettent une installation collective, qui dans les superpositions formelles montre aussi les concentrations du contenu du sujet. Des photographies et des vidéos, ou des surfaces colorées remplissant le mur, des rubans de texte et des projections de diapositives vont s'employer dans l'espace de la galerie ou aussi en intégrant une ancienne école de yoga à côté de la galerie.